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La marque italienne Diesel s’engage pour l’environnement

Diesel, la marque italienne signe le Fashion Pact, un engagement ecologique

A model presents a creation for fashion house Diesel Black Gold during the Men's and Women's Fall/Winter 2019 fashion show in Milan, on January 13, 2018. / AFP PHOTO / Marco BERTORELLO

Diesel est une marque italienne figurant désormais parmi les 63 poids lourds de la mode qui ont signé le Fashion Pact. Il s’agit d’un pacte environnemental qui encourage les griffes à miser sur le développement durable.

Diesel : la marque italienne et l’écoresponsabilité

Renzo Rosso, le fondateur de Diesel, a affirmé au magazine WWD que pour que la marque italienne change sa manière de faire des affaires, la collaboration était cruciale. Il a également ajouté que la griffe travaille depuis longtemps avec la Camera Nazionale della Moda Italiana afin d’avancer sur les questions de développement durable en Italie.

Le Fashion Pact, un engagement écologique

Le Fashion Pact est une coalition mondiale d’entreprises de la mode et du textile. Il s’agit d’un engagement écologique, récemment accepté par la marque italienne, qui met en avant de grands objectifs environnementaux axés sur trois thématiques. Ces thèmes sont la protection des océans, la restauration de la biodiversité et l’enrayement du réchauffement climatique.

Diesel, la marque italienne signe en faveur de l’environnement © Marco BERTORELLO / AFP

Plus de renseignements sur ce pacte environnemental

Outre la marque italienne Diesel, plusieurs groupes se sont associés à ce projet, parmi eux, on retrouve Prada, Nike, Adidas, H&M ou encore Tapestry. Les marques Ralph Lauren et Chanel figurent aussi sur cette liste. Au total 150 enseignes, soit trente-deux entreprises de la mode et du luxe, se sont unies autour de cette alliance.

La présentation de cet engagement écologique signé par Diesel

Cet accord a été présenté aux chefs d’État réunis dans le cadre du Sommet du G7 à Biarritz par le PDG de Kering, François-Henri Pinault. Cette alliance entend limiter l’impact de la filière sur le climat, les océans et la biodiversité fixés à l’horizon 2030 et 2050.

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