13 Août, 2020
Le 31 juillet 2020, le décès de Gilles Lapouge est annoncé par sa maison d’édition Albin Michel. L’écrivain a eu un long parcours dans l’univers des lettres avant de s’éteindre à l’âge de 97 ans.
L’annonce de la mort de l’écrivain Gilles Lapouge
La maison d’édition Albin Michel a déclaré dans un communiqué que le décès de l’écrivain Gilles Lapouge a eu lieu dans la matinée du 31 juillet 2020 à l’hôpital américain qui se trouve dans la ville de Paris. Cette annonce de l’éditeur français a plongé l’univers de la littérature francophone dans le deuil.
Le romancier en tant que journaliste
En 1948, Gilles Lapouge devint journaliste à Alger-Républicain. En 1951, il est recruté par le grand quotidien brésilien « O Estado de Sao Paulo ». L’écrivain français a continué à collaborer avec le célèbre journal pendant plusieurs décennies. Le romancier disait que le journalisme lui a sauvé « de la mauvaise littérature et de l’orgueil ».
Les ouvrages du célèbre romancier
À 40 ans, Gilles Lapouge a publié son premier livre intitulé « Un soldat en déroute ». Environ 25 manuscrits ont suivi. On compte parmi eux, des romans comme « Les folies Koenigsmark » (1989) ou encore « L’incendie de Copenhague » (1995) et « La mission des frontières » (2002). Son dernier roman, baptisé « Atlas des paradis perdus », est sorti en 2017.
L’amour de l’écrivain pour le Brésil
L’écrivain Gilles Lapouge décrivait le Brésil comme un pays qui l’avait « toujours étonné et surpris, parfois énervé, sans (le) décevoir jamais ». En 2011, le journaliste avait d’ailleurs publié un « Dictionnaire amoureux » entièrement dédié au territoire brésilien.