14 Fév, 2014
En 2014, le prêt immobilier est plus que jamais d’actualité. Le logement, cette année encore, demeure une préoccupation majeure des Français. En effet, une partie de la population rêve d’accéder à la propriété tandis qu’une autre continue à investir dans la pierre. Les banques et les assurances se livrent une concurrence accrue pour proposer leurs services financiers aux consommateurs. Ces derniers doivent comprendre les tenants et les aboutissants de cette transaction afin d’agir avec discernement.
Avant de contracter un prêt immobilier, il est important que l’emprunteur puisse saisir la signification des termes usuels employés dans le secteur bancaire. La notion fondamentale à connaître est celle du TEG, le taux effectif global. Ce dernier sera utilisé par le banquier pour calculer les mensualités du prêt immobilier que le client devra rembourser. Ce taux, qui peut être variable ou fixe, comprend le crédit à proprement parler ainsi que les frais de dossiers. Si plusieurs types d’emprunts existent, la loi protègera le consommateur en interdisant la facturation de frais supplémentaires après la signature du contrat final.
La personne qui projette d’acquérir un appartement ou une maison à crédit devra, d’abord, soumettre sa demande au banquier. Ce dernier scrutera le patrimoine, les revenus et l’épargne accumulée par l’aspirant emprunteur. En règle générale, le salaire du client doit être au moins trois fois supérieur à la mensualité dont le débiteur devra s’acquitter. Ce principe permet au souscripteur d’honorer son prêt immobilier tout en faisant face aux autres dépenses incompressibles.
Un élément crucial dans le processus de contractualisation d’un prêt immobilier est l’obligation, pour le client, de souscrire à une assurance décès-invalidité. Cette provision est indispensable pour se prémunir d’un éventuel défaut de paiement causé par la mort de l’emprunteur ou par la perte de son emploi. Par conséquent, c’est la compagnie d’assurance, et non les héritiers du défunt, qui se chargera de rembourser les mensualités restantes.
Bien que n’étant pas une démarche à prendre à la légère, le prêt immobilier doit être démythifié. L’emprunteur âgé entre 30 et 40 ans est celui qui a le plus de chance de se voir octroyer un crédit sans difficulté majeure. Pour le reste de la population, d’autres mécanismes d’aide au financement restent possibles.
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