Le géant de l’électroménager SEB se lance sur le marché du vélo électrique haut de gamme dans l’Hexagone. Il produira des vélos connectés connus sous le nom d’Angell.
SEB s’intéresse au vélo électrique
Après le petit électroménager, le fabricant français SEB s’intéresse désormais aux moyens de transport écologiques, plus particulièrement à l’électromobilité. Il est attaché au projet de vélo électrique et urbain Angell, avec lequel il compte proposer de nouveaux standards de sécurité par le biais de logiciels hautement technologiques.
Les vélos ont la cote auprès des Français
Avec la crise sanitaire du Covid-19, de plus en plus de personnes entreprennent de se tourner vers un moyen de transport plus écolo, et le vélo électrique en est un. D’ailleurs, à Paris, de nombreuses voies normalement réservées aux voitures ont été converties en pistes cyclables, tandis que certaines rues ont été réservées aux cyclistes.
Fort de ce constat, SEB revoit donc ses objectifs initiaux à la hausse, surtout après avoir vu ses commandes de vélos se multiplier par trois depuis le confinement. Alors qu’il prévoyait d’écouler 1 500 exemplaires la première année, il se fixe maintenant l’objectif d’en vendre 10 000. Sur 3 ans, le fabricant français espère en écouler 60 000.
Quel est le prix de ce vélo électrique ?
Le nouveau vélo électrique Angell sera vendu à un prix d’environ 2 700 euros, selon l’AFP. Deux tiers de ses composants sont fabriqués en France et le modèle est assemblé à Dijon, dans l’usine SEB d’Is-sur-Tille.