![\"Deux](\"https:\/\/www.n-3ds.com\/wp-content\/uploads\/2023\/02\/image-35.jpg\")
<\/a>L\u2019excision, une tradition qui fait du mal en Afrique<\/strong>\u00a0<\/h3>\n\n\n\nDans plusieurs pays d\u2019Afrique, l\u2019excision est une tradition. Cette forme de mutilations g\u00e9nitales f\u00e9minines est obligatoire pour les jeunes filles \u00e0 l\u2019approche ou ayant atteint l\u2019\u00e2ge de pubert\u00e9. C\u2019est \u00e9galement la condition pour pouvoir se marier. L\u2019OMS<\/a> annonce que ce sont plus de 200 millions de jeunes filles vivantes \u00e0 l\u2019heure actuelle qui ont subi une ablation partielle ou totale de la partie externe de leur organe g\u00e9nital. De son c\u00f4t\u00e9, l\u2019ONG Vision du Monde affirme que cette pratique menace chaque ann\u00e9e plus de quatre millions de personnes.\u00a0\u00a0<\/p>\n\n\n\nLes risques avec l\u2019excision<\/strong> sont nombreux. Cette op\u00e9ration non m\u00e9dicale peut entra\u00eener de graves h\u00e9morragies et le d\u00e9c\u00e8s de la jeune fille. Des complications durant la grossesse et l\u2019accouchement, ainsi que l\u2019infertilit\u00e9, ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9es parmi les cons\u00e9quences des MGF.\u00a0\u00a0<\/p>\n\n\n\nLutte compromise par le changement climatique et la s\u00e9cheresse<\/strong>\u00a0<\/h3>\n\n\n\nAlors que les organisations qui luttent contre l\u2019excision avaient d\u00e9j\u00e0 r\u00e9ussi \u00e0 faire quelques pas pour stopper les MGF en Afrique, la situation s\u2019est d\u00e9grad\u00e9e ces deux derni\u00e8res ann\u00e9es. Les effets du changement climatique<\/strong> ont fait augmenter de 30 % les excisions. Comme certaines populations sont plong\u00e9es dans la pauvret\u00e9 extr\u00eame avec la crise sanitaire<\/a> et la s\u00e9cheresse, les parents n\u2019ont trouv\u00e9 de solutions que le mariage forc\u00e9 de leurs jeunes filles. Une solution facile qui permet de toucher la dot et de r\u00e9duire le nombre de bouches \u00e0 nourrir. Aussi, comme il faut \u00eatre excis\u00e9 pour pouvoir se marier, le nombre des MGF est vite pass\u00e9 \u00e0 la vitesse sup\u00e9rieure en Ethiopie, au Kenya et d\u2019autres pays du continent.\u00a0\u00a0<\/p>\n\n\n\nSensibilisation contre le mariage forc\u00e9 des jeunes filles africaines<\/strong>\u00a0<\/h3>\n\n\n\n
Les risques avec l\u2019excision<\/strong> sont nombreux. Cette op\u00e9ration non m\u00e9dicale peut entra\u00eener de graves h\u00e9morragies et le d\u00e9c\u00e8s de la jeune fille. Des complications durant la grossesse et l\u2019accouchement, ainsi que l\u2019infertilit\u00e9, ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9es parmi les cons\u00e9quences des MGF.\u00a0\u00a0<\/p>\n\n\n\n Alors que les organisations qui luttent contre l\u2019excision avaient d\u00e9j\u00e0 r\u00e9ussi \u00e0 faire quelques pas pour stopper les MGF en Afrique, la situation s\u2019est d\u00e9grad\u00e9e ces deux derni\u00e8res ann\u00e9es. Les effets du changement climatique<\/strong> ont fait augmenter de 30 % les excisions. Comme certaines populations sont plong\u00e9es dans la pauvret\u00e9 extr\u00eame avec la crise sanitaire<\/a> et la s\u00e9cheresse, les parents n\u2019ont trouv\u00e9 de solutions que le mariage forc\u00e9 de leurs jeunes filles. Une solution facile qui permet de toucher la dot et de r\u00e9duire le nombre de bouches \u00e0 nourrir. Aussi, comme il faut \u00eatre excis\u00e9 pour pouvoir se marier, le nombre des MGF est vite pass\u00e9 \u00e0 la vitesse sup\u00e9rieure en Ethiopie, au Kenya et d\u2019autres pays du continent.\u00a0\u00a0<\/p>\n\n\n\nLutte compromise par le changement climatique et la s\u00e9cheresse<\/strong>\u00a0<\/h3>\n\n\n\n
Sensibilisation contre le mariage forc\u00e9 des jeunes filles africaines<\/strong>\u00a0<\/h3>\n\n\n\n